Le design graphique se retrouve partout : dans les maisons, les commerces, les bureaux, les lieux de loisirs et même dans la rue – c’est dire son importance dans la vie quotidienne. Pour la société, il est source de richesse, de culture et de fierté.
Vecteur de développement économique, langue vivante qui communique émotions, idées et valeurs, le design graphique s’épanouit d’autant plus que l’on en maîtrise la syntaxe et le vocabulaire.
Ce langage visuel, la SDGQ se charge de le défendre et de l’afficher – au nom de tous ses membres.
L'impact du design graphique sur notre culture n’est plus à démontrer. Qu’il suffise de mentionner Expo 67 et les Jeux olympiques de 1976 dont l’identité visuelle a contribué au développement d’une culture moderne à Montréal, qui s’est ainsi fait connaître au monde entier.
Le design graphique manifeste partout sa présence : affichage, édition, emballage, publicité, Internet, signalétique, identité visuelle, animation. Les supports sont multiples, mais son rôle demeure unique : donner du sens, expliquer, faciliter, enrichir, provoquer, convaincre. Les industries créatives et leurs acteurs contribueront à façonner le monde de demain.
Les créateurs visuels sont au cœur de la révolution numérique dont Montréal est le terrain privilégié et qui a contribué à à sa renommée de ville innovante dans le monde. Ce sont les acteurs et les bâtisseurs d’une nouvelle économie et de la nouvelle culture numérique.
Le design graphique reste la principale manifestation visuelle numérique qui, aujourd’hui, interpelle le citoyen dans sa vie quotidienne.
Utile et bien pensé, le design graphique permet de communiquer clairement, de vendre rapidement, de fonctionner efficacement. Il aide entreprises et organismes – sociaux, culturels, gouvernementaux – à améliorer différentes facettes de leurs activités.
Le design graphique ne représente jamais un coût, car il s’agit bien d’un investissement. Sa rentabilité se démontre, d’ailleurs, à tous les niveaux : individuel et collectif, local et international.
La fonctionnalité est un préalable, car le graphisme n’existe pas pour lui-même. Il s’agit d’un art appliqué et utilitaire qui crée des passerelles économiques, sociales et politiques. Les designers graphiques répondent à des demandes précises – concevoir une marque, une affiche de théâtre ou la signalisation d’un aéroport – demandes qu’ils interprètent et transforment. Aussi, ils réfléchissent autant à la forme qu’à la fonction et aux conséquences de leurs créations.
Le designer graphique se met au service des entreprises et des organismes pour les aider à mieux communiquer, vendre ou exercer leurs activités. Il doit répondre à des demandes bien précises, tout en en réfléchissant autant à la forme qu’à la fonction de ses créations.
Le design graphique bouge, il s’anime, il se réinvente en permanence. Il est essentiel de former de nouvelles générations de designers, comme il est fondamental de protéger nos acquis, d’exporter notre talent, d’encourager les entreprises québécoises. Le bon design graphique innove, surprend, crée une émulation. Il interagit avec toutes les autres sphères de création.
Dans sa façon de jouer avec la forme, de communiquer un message ou de répondre aux enjeux reliés au projet, le designer graphique fait preuve de créativité dans la recherche de solutions inédites, innovantes, surprenantes tant du point de vue esthétique que fonctionnel.
L’esthétique est séduction, mais la beauté demeure subjective, car elle répond toujours à des conventions et à des valeurs individuelles ou de société. Libre à chacun de les transgresser, en autant qu’il les connaisse. Le beau requiert du talent, une culture, du travail. S’il réjouit le regard, il améliore aussi nos vies.
Arborer le titre de DGA m’incite à niveler à la hausse ma profession, à me mettre dans une position qui m’oblige à toujours donner le meilleur de moi-même. Ce titre est à la fois un défi personnel au quotidien et une manière de communiquer à mes clients mes standards de qualité.